Millénaire T.5À l'approche de l'an 1000, période où l'obscurantisme règne, ressurgit la peur de l'Apocalypse - la fin du monde. Les premiers Chrétiens pensaient que la fin du monde était imminente mais après le 2ème siècle, la vie ayant continué et la religion catholique étant devenue dominante en Occident, l'échéance apocalyptique avaient été repoussée... Le chiffre 1 000 rallume tous les effrois. Et les créatures maléfiques sortent de l'ombre, les forces du Mal attisent les braises de leur complot. Sauf que dans la série Millénaire, le Moyen âge mis en scène est celui d'un univers (peut-être) parallèle dans lequel les monstres fantastiques font partie de la réalité et où les Sylphes (... des extra-terrestres !) foulent le sol de la planète sans problème... |
| | Millénaire T.4En ce temps-là... Les premiers miasmes de l'apocalypse s'exhalaient à l'approche de l'an mil. les vaisseaux métalliques des sylphes hantaient les cieux sous l'oeil du diable qui dépêchait, chaque jour plus nombreuses, ses créatures sur terre. la mort, la peur et la damnation étaient les plus fidèles compagnes des hommes dans un monde désormais gouverné par les forces de l'au-delà. et moi, raedwald le saxon, trafiquant de reliques dont on disait l'esprit aussi aiguisé que le poignard, j'avais décidé de barrer la route au chaos. |
| | Millénaire T.3Raedwald le saxon, moine défroqué, se livre à un commerce peu banal: le trafic de saintes reliques! Il parcourt l'Europe au Moyen-Age, peuplé de religieux fanatiques, de goules affamées et des mystérieux Sylphes aux vaisseaux de métal. Un triller surnaturel dans un monde parallèle, et qui brille par ses énigmes capricieuses. |
| | Millénaire T.1Raedwald parcourt les routes du Haut Moyen Age accompagné de son compagnon Arnulf, un géant surnommé « Poing de Fer » en raison de sa force de frappe naturelle. Raewald s'est spécialisé dans le trafic de reliques, un commerce fort lucratif en cette période troublée qui voit l'an Mille et ses promesses d'apocalypses s'approcher à grands pas. C'est au détour d'un chemin forestier que les deux voyageurs tombèrent sur les restes d'un convoi attaqué quelques heures plus tôt. Au milieux des débris calcinés et des cadavres des victimes, un homme horriblement torturé par le feu avait survécu au massacre. Son état l'empêchant de parler, Raedwald décide d'emmener le brûlé à l'abbaye de Santenay où se trouve la relique de Saint Polycarpe, connue pour soigner ce type de blessure. Les deux baroudeurs vont découvrir que parmi les victimes du convoi figuraient deux proches du roi Hugues Capet. Le début d'un thriller historique où le surnaturel n'est jamais loin, servit par le trait concis et puissant de François Miville-Dechêne. Un must du genre. |
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